Le projet du jardin de la Paix…

Il repose sur les trois principes fondateurs de la permaculture unitive, les 3 V :

🔹 Vivant : restaurer la fertilité des sols, en harmonie avec les cycles naturels via des techniques de mulchage, d’engrais verts et d’électroculture

🔹 Vibrant : produire des fruits et légumes d’une vitalité exceptionnelle, nourrissant corps, cœur et âme via l’électroculture mais aussi et surtout par l’intention, la méditation, la qualité de présence de chaque jardinier·ère de la Paix.

🔹 100% Végétal : cultiver sans intrants animaux, démontrant qu’une agriculture régénératrice peut se passer de toute exploitation animale, fondement essentiel pour pouvoir parler de Paix.

Ce projet témoigne d’un monde où l’abondance se partage, où la terre se régénère et où la justice alimentaire devient réalité.

🍏 Affirmer un droit universel à une alimentation saine : en produisant deux fois plus que nécessaire à l’autonomie des résident·es, ce jardin redistribue son surplus aux associations locales d’aide alimentaire, garantissant l’accès aux plus démunis à une nourriture vivante et régénératrice.

🌿 Régénérer le vivant et renforcer la résilience : chaque année, le potager enrichit le sol, développe la biodiversité et renforce l’autonomie alimentaire du territoire.

🌱 Mettre fin au mythe de la nécessité de l’élevage : un sol peut être fertile sans exploitation animale, ouvrant la voie à une agriculture véritablement non-violente.

Avec 2 à 5 « Jardiniers de la Paix », cet écosystème se conçoit pour produire jusqu’à 10 tonnes de fruits, fleurs et légumes (ou plus) sur 2500 m² annuellement ; un modèle nourricier, éthique et solidaire est possible dès aujourd’hui.

Faites partie de l’aventure ! Devenez jardinier·ère de la Paix.

Devenez jardinier·ère de la Paix

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Si vous répondez aux critères ci-dessous et que le projet vous appelle, posez votre candidature par mail.

Phases de mise en oeuvre de l’écosystème nourricier

Voici le calendrier théorique du déploiement de l’entièreté du jardin de la Paix.  Ce calendrier est conditionné par le rythme des saisons, le nombre de jardinier·ères de la paix, les chantiers permacoles (pour les gros travaux), les partenariats avec les associations locales d’aide alimentaires et, bien sûr, les financements.

À partir :

• d’avril 2025 : mise en place des premiers 600 m2 de culture et installation de la petite serre (24 m2)
• de juillet 2025 : préparation des terres (mulching – design – mares) du mandala (900 m2), du jardin-forêt (1000m2), des haies forestières comestibles (3000 m2)
• d’octobre 2025 : plantation des arbres et arbustes du pré verger et des haies forestières
• avril 2026 : mise en place de la grande serre (240 m2)

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